Supervision individuelle

Accompagnement

6 mois minimum

Individuel

La supervision individuelle est un entretien entre un.e professionnel.le et une personne extérieure à la structure. Cet entretien permet la réflexion, la prise de recul, l’élaboration.

Les sujets abordés sont ceux amenés par la personne supervisée. Ce temps sert à mettre des mots sur des situations vécues par le.a professionnel.le.

C’est un espace individuel et personnel qui peut venir en complément d’autres accompagnements.

Supervision individuelle

Accompagnement

6 mois minimum

Individuel

La supervision individuelle est un entretien entre un.e professionnel.le et une personne extérieure à la structure. Cet entretien permet la réflexion, la prise de recul, l’élaboration.

Les sujets abordés sont ceux amenés par la personne supervisée. Ce temps sert à mettre des mots sur des situations vécues par le.a professionnel.le.

C’est un espace individuel et personnel qui peut venir en complément d’autres accompagnements.

« C’est comme ci, il y avait eu une bouteille d’oxygène. Les rencontres m’ont permis de reprendre le travail avec plus d’air. […] J’ai retrouvé de l’air quand j’étais à bout de souffle. […] Elles m’ont re-donné de l’espace pour accueillir les femmes. »

Anonyme

« La supervision m’a rendue plus professionnelle, car avant, sur une situation comme celle-là, je serai montée à la direction et j’aurais fait un scandale. Là, je vais préparer ma rencontre, et arriver de manière constructive. »

Anonyme

« La supervision s’est avérée indispensable pour moi. Je ne me retrouvais pas toujours dans les groupes d’analyses de pratiques en équipe complète, j’avais trop d’enjeux à travailler seule et je n’aurais jamais abordé ces sujets avec tout le monde, c’était trop personnel. »

anonyme

« L’impact a été direct sur plusieurs plans : un apaisement émotionnel, j’ai appris à regarder toutes les émotions une par une, à les accueillir, les “ranger” et travailler avec sereinement. J’ai changé des habitudes de travail : agenda, timing pour les entretiens, temps informels, gestion de la demande… »

anonyme

« Un lieu de rencontre serein entre la personne et la professionnelle que je suis. Un espace où les deux peuvent se rencontrer et prendre soin l’une de l’autre. C’est apaisant. »

Anonyme

Public et pré-requis

Les supervisions individuelles s’adressent à des personnes travaillant dans les champs du social, de la solidarité et de l’insertion.

Elles concernent les travailleur.se.s de terrain (travailleurs.ses sociaux.ales, coordinateur.rices, animateur.rices) et les cadres en situation de management, d’accompagnement des publics.

Pour le bon fonctionnement de la supervision, il est important que la personne supervisée soit adhérente à la proposition.

Objectifs

  • Mettre des mots sur des situations difficiles, embarrassantes, d’empêchement, d’impuissance
  • Porter un regard sur sa pratique, sa place dans un système, sa propre expérience
  • Faire le lien entre des ressentis et l’histoire personnelle
  • Prendre de la distance par rapport à des situations, des accompagnements, des personnes
  • Considérer les émotions, apprendre à les accueillir pour soi et pour les autres
  • Identifier des actions, des idées, des personnes à solliciter pour reprendre du pouvoir d’agir sur la situation

Besoins auxquels cet accompagnement répond ?

Pour la personne accompagnée : apaisement, expression, écoute, valorisation, prise de recul, distance, élaboration, réciprocité, soutien.

Pour l’établissement, l’association : prévention des risques psycho-sociaux, reconnaissance, prise en compte des réalités du terrain.

Durée de l’accompagnement

Entretien d’1h à 1h30 en présentiel ou en distanciel. Sollicitation possible pour quelques séances dans un contexte particulier.

Accompagnement au long cours sur plusieurs rencontres (conventions possibles sur 6 mois, une année, etc).

Quand solliciter une supervision individuelle ?

Les professionnel.les de la solidarité, du social sont très sollicité.e.s sur leur temps de travail :

  • une charge de travail lourde,
  • une « sur-exposition » aux traumatismes des personnes,
  • une adaptation permanente aux personnes, aux situations,
  • une vie émotionnelle intense liée inhérente à la relation d’aide et d’accompagnement
  • une sur-exposition aux dysfonctionnements institutionnels, à l’injustice sociale, aux effets de l’exclusion

Les signes :

  • Une fatigue permanente qui ne trouve pas de mots
  • Des revendications,
  • de la colère, de la tristesse, des émotions fortes qui viennent à l’encontre du travail et de la confiance envers l’établissement, l’équipe, etc.
  • de la culpabilité, de l’impuissance, de la colère ou de la tristesse venant à l’encontre du travail d’accueil et d’accompagnement,
  • Un mal-être avéré, récurrent auquel l’encadrement ne peut pas répondre,
  • La personne concernée émet le besoin de prendre du recul, de questionner son propre fonctionnement.

Public et pré-requis

Les supervisions individuelles s’adressent à des personnes travaillant dans les champs du social, de la solidarité et de l’insertion.

Elles concernent les travailleur.se.s de terrain (travailleurs.ses sociaux.ales, coordinateur.rices, animateur.rices) et les cadres en situation de management, d’accompagnement des publics.

Pour le bon fonctionnement de la supervision, il est important que la personne supervisée soit adhérente à la proposition.

Durée de l’accompagnement

Entretien d’1h à 1h30 en présentiel ou en distanciel. Sollicitation possible pour quelques séances dans un contexte particulier.

Accompagnement au long cours sur plusieurs rencontres (conventions possibles sur 6 mois, une année, etc).

Objectifs

      • Mettre des mots sur des situations difficiles, embarrassantes, d’empêchement, d’impuissance
      • Porter un regard sur sa pratique, sa place dans un système, sa propre expérience
      • Faire le lien entre des ressentis et l’histoire personnelle
      • Prendre de la distance par rapport à des situations, des accompagnements, des personnes
      • Considérer les émotions, apprendre à les accueillir pour soi et pour les autres
      • Identifier des actions, des idées, des personnes à solliciter pour reprendre du pouvoir d’agir sur la situation

Quand solliciter une supervision individuelle ?

Les professionnel.les de la solidarité, du social sont très sollicité.e.s sur leur temps de travail :

  • une charge de travail lourde,
  • une « sur-exposition » aux traumatismes des personnes,
  • une adaptation permanente aux personnes, aux situations,
  • une vie émotionnelle intense liée inhérente à la relation d’aide et d’accompagnement
  • une sur-exposition aux dysfonctionnements institutionnels, à l’injustice sociale, aux effets de l’exclusion

Les signes :

  • Une fatigue permanente qui ne trouve pas de mots
  • Des revendications,
  • de la colère, de la tristesse, des émotions fortes qui viennent à l’encontre du travail et de la confiance envers l’établissement, l’équipe, etc.
  • de la culpabilité, de l’impuissance, de la colère ou de la tristesse venant à l’encontre du travail d’accueil et d’accompagnement,
  • Un mal-être avéré, récurrent auquel l’encadrement ne peut pas répondre,
  • La personne concernée émet le besoin de prendre du recul, de questionner son propre fonctionnement.

Besoins auxquels cet accompagnement répond ?

Pour la personne accompagnée : apaisement, expression, écoute, valorisation, prise de recul, distance, élaboration, réciprocité, soutien.

Pour l’établissement, l’association : prévention des risques psycho-sociaux, reconnaissance, prise en compte des réalités du terrain.

Contenu

Approche pédagogique :

Le travail du superviseur est d’écouter, de poser des questions et de « mettre au travail » la personne salariée sur cette situation, afin de mieux adapter ses réactions, sa pratique et ses actions par la suite.

Une écoute et un accueil inconditionnel sont primordiaux pour la construction de la confiance.

La supervision est un accompagnement « centré sur la personne ». La personne supervisée apporte ses sujets.

    Processus d’animation :

    Au début de la rencontre, nous prenons le temps de la connexion : échange de nouvelles, discussion informelle. Puis, nous faisons le tour des sujets à aborder. La personne accompagnée choisit le sujet qui retiendra notre attention. À la fin de la rencontre, nous prenons le temps d’une synthèse ou d’un résumé, à la recherche de ce qui apparaît comme important / nouveau / pouvant être utile.

    Règles de fonctionnement :

    Confidentialité :
    L’application de la règle de la confidentialité est importante pour la construction de la confiance entre la personne accompagnée et la superviseuse. Elle se place à plusieurs niveaux :

    • envers les personnes accueillies (les personnes ne sont pas nommées quand cela n’est pas nécessaire),
    • envers les autres membres de l’équipe rencontrés,
    • envers la direction. Si toutefois des éléments devaient être remontés à la direction via l’animatrice, cela ferait l’objet d’un accord passé avec la personne.

    Co-responsabilité :
    Le bon fonctionnement d’une supervision s’appuie sur un principe de co-responsabilité entre la superviseuse et la personne accompagnée. La superviseuse est responsable du processus de mise au travail, de l’animation et de la construction d’un cadre permettant les échanges. La personne accompagnée est responsable du contenu, de l’apport de situations, et de sa participation active.

    Les principes de confidentialité et de co-responsabilité sont partagés avec les personnes accompagnées au début de l’accompagnement, et à chaque fois que c’est nécessaire pour son bon fonctionnement.

     

     

    Informations complémentaires :

    → Possibilité de sollicitation individuelle sans l’employeur.
    → Possibilité de sollicitation par l’employeur pour une personne et/ou une équipe.
    → Les tarifs sont établis à l’heure.

    À savoir :

    La supervision peut être sollicitée dans un contexte exceptionnel : crise, changements, essoufflement. Elle peut également faire partie des éléments de travail apportés aux collaborateur.rices pour les soutenir dans leurs missions.