Des accompagnements fondés sur la relation, l’accueil inconditionnel, le questionnement et l’animation

Écouter, questionner, avancer avec les personnes ou les équipes. Prendre de la hauteur, se confronter à la réalité, explorer le vécu émotionnel, mettre en valeur le savoir expérientiel des personnes.

En individuel ou en collectif, je propose pour chaque accompagnement :

  • la co-création du cadre de fonctionnement ;
  • des supports pour réfléchir, se présenter, mieux se connaître, faire le point ;
  • des animations (brise-glace, introduction) pour vivre et construire la confiance et le groupe ;
  • des temps de travail en petits groupes ;
  • un temps à la fin de chaque rencontre pour se projeter dans l’action.

À la fin des accompagnements, les personnes repartent avec des clés de connaissance et d’actions, un regain en pouvoir d’agir avec les personnes accompagnées et dans les projets menés.

Des accompagnements fondés sur la relation, l’accueil inconditionnel, le questionnement et l’animation

Écouter, questionner, avancer avec les personnes ou les équipes. Prendre de la hauteur, se confronter à la réalité, explorer le vécu émotionnel, mettre en valeur le savoir expérientiel des personnes.

En individuel ou en collectif, je propose pour chaque accompagnement :

  • la co-création du cadre de fonctionnement ;
  • des supports pour réfléchir, se présenter, mieux se connaître, faire le point ;
  • des animations (brise-glace, introduction) pour vivre et construire la confiance et le groupe ;
  • des temps de travail en petits groupes ;
  • un temps à la fin de chaque rencontre pour se projeter dans l’action.

À la fin des accompagnements, les personnes repartent avec des clés de connaissance et d’actions, un regain en pouvoir d’agir avec les personnes accompagnées et dans les projets menés.

Relecture de pratiques

Coaching individuel

Supervision individuelle

Une journée pour… (journée d’équipe)

« Je réalise que la supervision est indispensable pour que les professionnel.le.s prennent soin d’eux pour prendre soin des autres. »

Laura – Travailleuse sociale dans un accueil de jour

« Anne-Paule a une posture très juste, fine et son expérience de terrain est très précieuse et solide ! »

Laure Turchet – Responsable de Pôle CARTON PLEIN

4 idées reçues sur l’accompagnement…

 

1. « L’accompagnement en coaching, les journées d’équipes, … C’est un truc d’entreprises privées ! »

Il s’agit certainement d’un héritage du privé, auquel on peut associer les mots de performance, de croissance, de qualité…

S’ils nous arrivent dans le secteur associatif, c’est qu’ils sont aussi intéressants pour notre secteur. Prendre du recul, s’améliorer, se connaître soit, se connaître en équipe, sont autant de facteurs qui facilitent la collaboration, le travail quotidien, et finalement l’accompagnement des personnes exclues et en souffrance.

Avoir des lieux d’échanges et de constructions de sa pratique sont nécessaires pour trouver sa place et son écologie, dans des secteurs en mouvement permanent, imprégnés des dysfonctionnements de notre monde, et où les acteur.rices sont en relation 100% du temps : en équipe, avec les partenaires et avec les personnes accompagnées.

 

 

2. « Un accompagnement, ça coûte cher ! »

L’accompagnement par des personnes extérieures à l’équipe ou à l’association a un coût ! On ne peut pas le nier ! Cela peut même paraître impossible quand les budgets sont serrés ou à moitié renouvelés.

Dans le cadre de l’établissement des prix d’Osons la relation, je cherche à être la plus juste possible en fonction de la taille de la structure, du délai, de la demande et du besoin. Viennent dans la balance de ce prix : la préparation qu’on appelle l’ingénierie pédagogique, l’animation, les frais annexes (transport, hébergement, repas). Enfin, ce prix permet de financer le fonctionnement d’Osons la relation et la rémunération.

 

 

3. « Les lieux de paroles… C’est un caprice des équipes ! »

Plus le temps passe et moins je suis d’accord avec cette phrase déjà entendue !

Ce n’est pas un caprice, c’est un besoin. Un besoin de parler, de dire, de chercher, d’élaborer, de prendre du recul, de trouver, de s’ajuster, d’adapter, etc. etc.

 

 

4. « La solidarité/le social, sont des domaines de vocation, les équipes seront toujours présentes. »

La crise de recrutement que nous traversons est bien la preuve que non, les équipes ne seront pas toujours présentes ! Et pourtant, nous savons qu’il y a des personnes attirées dans l’esprit par ce secteur, mais la rémunération, les dysfonctionnements de l’associatif refroidissent des personnes volontaires ou conduisent un certain nombre de personnes engagées à quitter leur poste et à ne pas revenir, et souvent dans un état de souffrance.

Plus que jamais notre secteur a besoin d’espaces d’accompagnement pour les professionnel.le.s de terrain, les cadres intermédiaires, les dirigeants associatifs et les personnes engagées dans la gouvernance. Pourquoi ? Parce que le secteur est malmené ! Par la dimension financière, les appels à projets qui régissent le fonctionnement, la baisse des budgets alloués à la solidarité, les changements et l’augmentation de la pauvreté, etc.

Dans un contexte comme celui-là, nous avons d’autant plus besoin d’être en lien, de trouver nos façons de nous soutenir en équipe, de nous construire des lieux d’apaisement et de soins pour nous-mêmes afin de continuer les missions et les liens avec les personnes exclues et précarisées qui ont besoin de nous tous, dans la durée et dans la disponibilité.